"Premier travail avec corrections", c'est ainsi qu'Emile Littré définissait le mot brouillon. Je serai tenté de reprendre cette définition pour qualifier la prestation de l'OL à Zurich contre Grasshopper. Malgré une victoire (1-0 ; Grenier, 82è), les Lyonnais n'ont pas été brillants, voire insuffisants en première période.
La médiocrité des Lyonnais n'empêche pas quelques motifs de satisfactions et infimes plaisirs : la régularité d'Anthony Lopes, l'activité de Clément Grenier, ou l'ouverture de Gueida Fofana pour Lisandro sur le but - une perle de passe.
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